La guerre empire/coalition avait commencé. Suite à une terrible bataille, le peuple Nakkaî avait subit une cuisante défaite, marqué par la perte du vaisseau amiral Sylanium et par une partie de son équipage. D'ordinaire, un Nakkaî mort voyait son esprit envoyé par un lien subspatial dans un autre Nakkaî, le temps qu'une enveloppe charnelle soit prête à l’accueillir à nouveau. Mais pour l'équipage du Sylanium, l'explosion du vaisseau avait été si brutal qu'il n'avait pas eu le temps de projeter leur esprit dans quoi ou qui que se soit. Leur corps avait été instantanément pulvérisé.
Il fallait maintenant se préparer à la guerre. Chose que les Nakkaî ne connaissaient pas depuis des milliers d'années. Leur technologie se tournait surtout autours de la technologie défensive et de la maitrise de l’énergie. Le grand conseil avait été rassemblé, peu de temps avant, et des points avaient été soulevé. L'un deux était l'exploration d'autre planète, via l'artefact qui stabilisait des vortex. La fois où les vaisseaux l'avaient emprunté, la manœuvre avait été plus simple. Il avait juste actionné un programme fourni par la coalition pour permettre de rejoindre le vortex le plus près des vaisseaux de la coalition. Cette fois, il fallait activé de A à Z cette artefact. Puis les Nakkaî y ferons passé des des drones de reconnaissance pour étudier les planète à porter. Il fut décidé que les drones partirait de la planète, afin de laissez les destroyers se faire analyser et réparer.

Quatre drones furent alors de la planète. Le trajet ne fut pas très long et les quatre vaisseaux sans pilotes arrivèrent le vortex. De leur poste de contrôle, des Nakkaî lancèrent la procédure que l'ont leur avaient expliqué. Ils décidèrent de l'activer vers le secteur 23. Ainsi, si la procédure pour le retour était défectueuse, il pourrait, même avec un trajet bien plu long, aller quand même récupérer le savoir récolter. Les lumières sur l'artefact s'allumèrent et un vortex se forma. Il grandit à vu d’œil et se stabilisa. Lorsque les Nakkaî en charge du vortex conclurent que le vortex était stable à 100%, ils donnèrent l'ordre aux drones de le franchir. La quête de savoir à des millions d'années lumière venait de commencer.

Dans le secteur 23, le vortex qui n'avait pas été utilisé surement depuis des milliers d'années, s'activa d'un seul coup. Quatre drones Nakkaî en sortirent et le vortex s'éteignit. Les quatre petits appareils scannèrent les alentours. A 2h en vitesse subluminique, il y avait une planète. Les quatre drones s'y dirigèrent donc. L'un prit les devant et se mit en mode éclaireur. Ainsi, si un danger quelconque venait à le détruire, les trois autres analyseraient la destruction et trouveraient un moyen pour contourner l'obstacle. Cette formation s'avéra bien utile et sauva l'intégrité de la mission.

A mis chemin de sa destination, l'éclaireur fut pris dans un nuage ionique. C'est nuage dans l'espace était le fruit de de particules atomiques ionisés en suspensions. Les petits nuages ioniques pouvaient altérer les fonctions motrices des appareils. C'était d'ailleurs ce système qui avait inspiré les canons électromagnétiques sur le Sylanium. Mais les Nakkaî n'avaient jamais eu à faire à un nuage aussi gros. Le drone, afin de recueillir des informations, se dirigea du coup vers le nuage ionique. En arrivant, la propulsions se déconnecta. Ce n'était pas grave, un des trois autres drones viendrait le chercher. Mais la suite se gâta davantage. Le drone dérivait dans l'espace en direction du cœur du nuage. Petit à petit, tout les système se déconnectèrent ou grillèrent un par un. Il n'était plus question de venir chercher ce drone maintenant trop endommagé. Les boucliers du drone ne firent pas long feu et la coque commença à se faire ronger par la corrosion du nuage ionique. En l'espace de quelques minutes, le drone ne devint qu'un tas de ferraille rongé flottant mollement dans l'espace.
Mais tout ça n'avait pas servit à rien. Toute les informations récoltés par le drone détruit avaient été transféré dans chaque drones encore en service. Comprenant le danger, les trois autres drones contournèrent le nuage ionique et se dirigèrent vers la planète.

Lorsque les trois sondes arrivèrent en orbite, chacune se mit à scanner un zone où elle se poserait pour faire des études. Le drone 1 se dirigerait vers le gigantesque océan qui semblait recouvrir au moins la moitie de la surface de la planète. Le drone 2 se dirigerai vers la gigantesque forêt du moins semblait-il, et le drone 3 se dirigerait vers le pôle nord de la planète recouvert d'un gigantesque désert. Lorsque chacun des drones fut près, ils firent leur entré dans l'atmosphère.

Le drone 1 fit sa rentré dans l'atmosphère sans encombre. L'appareil ne fut prit dans aucun vent atmosphérique violent ou autres conditions climatiques déplorables. Lorsqu'il atteignit enfin la surface, le spectacle fut une surface bleue à perte de vue, presque sans remous. Le manque de vague signifiant sans doute une composition différente que celle que l'ont trouvé à l'état liquide sur Tolana. Un petit bras articulé sortit du dessous de la coque du drone et préleva un échantillon du liquide. L'analyse s'en poursuivit.

Présence de molécule d'H2O2, de CO2 . Présence de micro-organismes de type protozoaires et de bactéries unicellulaires. Densité 1,46 fois plus importante que l'eau à l'état physique liquide sur Tolana.

Le drone continua à survolé la surface liquide sans qu'il n'y est une quelconque évolution. Toute les données informatiques étaient transféré en temps réelles aux deux autres drones qui faisaient leur propres explorations. Puis, cette tache faite, il activa ses boucliers et s'enfonça dans l'eau. L liquide semblait vide de vie. Un puissant courent marin embarqua alors le drone. Tout les données furent enregistré sur ce courant. Le drone fut rejeté quelques heures plut tard dans des eaux plus calme. Lorsqu'il sortit de son mode veille et commença à se mouvoir, il vit qu'il était entouré d'une myriade de petit animaux plats et mou. Le bras articulé en saisit un et le mis dans un récipient. Alors qu'il allait en saisir un second, un gigantesque animal de forme serpentine s'attaqua aux petits animaux. L'animal avait la peau recouvert de motif noirs sur un fond blanc. Tout un banc sortit des profondeurs et se jetèrent à l'attaque des petits vers plats. Les prédateurs une fois reput s'approchèrent du drone et commencèrent a jouer avec en le poussant dans toute les directions. Le drone sortit sons bras articulé à nouveau, avec l'objectif de récolter quelques morceaux de peau de l'un d'entre eux pour pouvoir le cloner sur Tolana. Lorsqu'il piqua l'un des serpents marins, un petit nuage de sang rose s'échappa de la plaie. Les autres animaux commencèrent à s’exciter et se mirent à attaquer leur compagnons. Avec une efficacité effroyable, ils dévorèrent leur congénère en l'espace de quelques secondes. Puis les animaux commencèrent à s’attaquer au drone. Celui-ci décida de s'écarter du groupe. Mais les coups répétitifs sur le bouclier poussa le drone vers le courant, qui l’aspira. Balloté contre le fond marin, les boucliers s'épuisèrent n'étant pas habitué à être mise à rude épreuve par la pression de l'eau pendant si longtemps. Les système de l’appareil se furent déconnecté un par un. La mission de drone 1 était un échec. Mais qu'en était-il de drone 2 et drone 3 ?

Le drone 3 eu des problèmes lorsqu'il pénétra dans l'atmosphère. La zone désertique qu'il survolait émettait de puissant courant d'air chaud ascendant car l'air chaud est plus léger que l'air froid. Le drone fut alors prit dans des turbulences. Incapables de se maintenir en vol stable, le drone s’écrasa comme une coquille vide et roula sur le sable. Le drone 3 se fit un compte rendu de ses stats. La propulsion était détruite, ainsi que le générateur du bouclier. Le SAS ou sortait le bras articulé était aussi endommagé. Le reste des système d'analyse cependant avait survécu. Toute la journée qui suivit, le drone 3 fit des simulations sur la suite des évènements, tout en prenant des notes sur les conditions climatiques qui entourait le drone ; température, luminosité, hydrométrie, etc... En fin de journée, un message provenant du drone 1 parvint au drone 3 et 2. Celui-ci venait d'être déconnecté. Surement avait-il été détruit. Prenant en compte ce nouvel élément, le drone 3 décida d'accumuler le plus de donnée possible pour palier la perte du drone 1. Au nez du drone, une petite porte s'ouvrit. Une petite araignée mécanique en sortit. Ces petites araignées, servant généralement d'unité de combat, servaient aussi à explorer des lieux exigu. La petite araignée récolta un échantillon de sable et le transféra dans un récipient dans le drone 3. Puis la petite araignée partie en direction de l'horizon du désert.

Elle marcha pendant des heures sur le sable brulant. La petite araignée bardé de capteur enregistrait absolument tout. Elle arriva au bout de quelques heures devant un lac asséché. Un poudre grise et jaune était disséminé un peu partout sur le sol craquelé et asséché. Une petite tige métallique sortit de l'abdomen de l'araignée et se planta dans le sol. La poudre jaune et grise était un résidu cuivré dans lequel évoluait une bactérie. L'araignée en prit un échantillon et décida de revenir vers le drone, car sa soute à échantillons était petite.

Sur le chemin du retour, un énorme nuage s'approcha à l'horizon. Mais il n'était pas chargé de pluie, mais de sable. La tempête de sable s’abattit sur la petite araignée métallique. Pour ne pas se faire souffler par le vent, elle s'enterra sous terre. Lorsque la tempête fut passé, la petite unité d'exploration sortit de son terrier, vérifia l'état de sa coque et se repartit vers le drone. Mais lorsqu'elle arriva à l'endroit où le drone 3 aurait du être, elle ne trouva rien. Elle eu beau scanner les alentours, elle ne le détecta pas. Pour sauvegarder les échantillons précieux qu'elle avait accumulé, l'araignée replia ses pattes sous son corps pour se faire compacte et lança un faible signal de détresse. Après deux jours d'exploration, le drone 1 et 3 était détruit. Qu'était-il advenu du dernier drone, le drone 2 ?

Le drone 2 avait réussi son entrée dans l'atmosphère avec brio. Le drone arriva au dessus d'une forêt qui s’étendait à perte de vue. Le taux d'humidité dans l'air était très important, mais il n'y avait aucune formation nuageuse. Le drone commença à se rapprocher du sol et s'enfonça dans la sylve. Des plantes gigantesques formaient cette imposante forêt. Sur un tronc marron avoisinant les cent mètres de haut était posé une excroissance fibreuse verte et marron circulaire. La forêt était donc un endroit sombre et très humide. Le drone 2 évolua dans cette environnement pendant des heures sans rencontrer d'animaux. Il y avait bien quelques micro-organismes dans l'air que le drone préleva, mais rien de plus. En attendant, le drone étudia plus profondément la flore. Le sol était recouvert d'une petite plante filandreuse à mis chemin entre de l'herbe et de la mousse. Entre les grandes plantes géantes, il y en avait des plus petites, ressemblant à des bambou. Le drone fit des prélèvement. Tout ce qui été prélevé serait dupliqué et cloné en laboratoire.
Alors qu'il prélevait de l'eau dans une flaque d'eau, des remous se firent sentir dans les fourrés. Un petit animal en sortit. Il possédait un corps fin hissé sur quatre pattes fines. Sa peau était recouverte de fines excroissance fibreuse semblable à ce que portait les arthans et les beorans sur leur tête. L'animal détalla en courant quelques secondes après. Surement que la taille du drone l'avait effarouché. Le drone continua sa route dans la forêt toute la journée, sans rencontrer d'autres signes de vie animal. En fin de journée, il reçut le signal qui confirmait la destruction du drone 1. Il ne restait plus que le drone 2 et 3 en route.

Le lendemain, la situation n'évolua pas. La forêt était très calme. Peut être même trop calme. En milieu d'après midi, une pluie diluvienne vint s’abattre. Le drone put apercevoir quelques remous dans les fourrés, ais le drone n'aperçut rien l'animal avait détalé avec une grande vivacité. La sonde se rapprocha alors de l'endroit où l'animal avait été quelques instants plus tôt. Lorsqu'elle l'atteignit, une chose vint s'écraser sur la coque du drone et le marteler de coup. Lorsque le drone voulut activer son bouclier, il était trop tard. Les dernières images qui furent enregistré furent le sol qui se dérobé sous la carcasse de l'appareil. Quelques choses le trainait. Mais quoi ?

Mission Terminée